ZitSta explique comment Econocom a contribué à la mise en place d'un modèle "as a service"
Motivée par la demande croissante d'une offre circulaire de la part de ses clients, ZitSta, qui fournit et installe des chaises de bureau ergonomiques et des bureaux à hauteur ajustable, propose depuis un certain temps déjà ses solutions selon la formule "as a service" (c'est-à-dire en tant que service, où ZitSta reste propriétaire des solutions et les reprend à la fin de la période contractuelle pour les réemployer ou les recycler, par exemple). Elle le fait en collaboration avec Econocom, qui s'occupe de l'aspect financier. Dans un témoignage, ZitSta a expliqué le rôle de ce service dans le processus de croissance circulaire des entreprises, ainsi que sa collaboration avec Econocom.
"Le passage d'un modèle de vente à un modèle de service entraîne un certain nombre d'implications comptables et opérationnelles", explique Jeroen Van den Bossche, CEO de Buro International, dont Zit Sta est une marque, dans son témoignage. Tout d'abord, il est impossible de comptabiliser les revenus et les marges "à l'avance", ce qui a bien sûr un impact important. Vous devez préfinancer. Vous restez propriétaire des solutions, vous devez donc capitaliser sur le bilan et travailler avec les comptes clients. Le préfinancement est une bonne chose pour quelques dossiers, mais dès qu'il s'agit de gros volumes, les problèmes de solvabilité sont inévitables. Le flux de facturation doit également être adapté, passant de factures uniques à des factures périodiques. Le suivi du paiement de ces factures demande donc plus de temps et d'énergie".
Pour éviter les problèmes de solvabilité, Buro International a cherché un partenaire financier externe. Elle a commencé à faire le tour des grandes banques et s'est vu présenter un éventail de solutions financières possibles : un prêt, dont certaines ne voulaient parler que s'il s'agissait d'un multiple du montant de l'investissement demandé, le factoring (où la banque avance les factures, ndlr), etc. Aucune de ces propositions n'a convaincu Jeroen Van den Bossche. "J'avais également l'impression que les banques ne pensaient qu'à l'actif et au passif. J'ai alors commencé à chercher un autre partenaire financier. Un partenaire qui était prêt à agir rapidement et qui pouvait offrir la flexibilité nécessaire. J'ai trouvé ce partenaire en la personne d'Econocom. Il nous a proposé une solution de financement hors bilan sur cinq ans qui nous a donné la capacité financière de répondre à la demande de as a service de nos clients finaux."